Ciao Mariel, che ne dici, a seguire, di puntare, a seguire, su questo salotto?
Mi
piace l' idea dei BOLLETTINI con le notizie vere e false (si potrebbe fare una
coda-discussione su temi di attualità - tanto per guastare l' atmosfera)
Un'
atea convertita....mi da l' idea di personaggio di larghe vedute...
ma....aspetto
proposte!
(meglio
se non ci spingiamo oltre la fine del settecento per questioni musicali...)
BAci
Baci..Marion
MI
MOBILITO GIA' ORA PERCHE' VORREI AVER SCELTO IL PROSSIMO SALOTTO QUANDO AVRA'
LUOGO IL PRIMO...
BACI,
BACI...
Marie Anne Doublet
Marie
Anne Doublet (Parigi, 23 agosto 1677 – Parigi, maggio 1771)
è stata una letteratafrancese e salottiera chiamata impropriamente
Mme Doublet de Persan dalla maggioranza dei suoi biografi.
Cara Maria,
come puoi vedere sono ubbidiente e diligente e in
allegato troverai il frutto delle mie spigolature. Sono stralci dei famosi
bollettini e sono proposti come i brani più famosi. Se questi sono i più
famosi,non mi sembra grave imitarli inventandoci di sana pianta la
colonna di sinistra secondo le necessità imposte dalle scelte per la colonna di
destra. Né la scrittura né i contenuti degli originali sono per niente
impegnativi,dunque non mi sento blasfema né presuntuosa nel servircene Del
resto ,da qualche parte ,potremo dichiarare l’imitazione. Anche per la
carte de Tendre l’operazione è stata analoga e l’originale aveva uno spessore
molto superiore. Cercheremo di destreggiarci tra pettegolezzo e info
importanti,sia sui cambiamenti di vita del tempo(i luoghi pubblici di incontro
come i caffè che progressivamente vanno sovrapponendosi a quelli privati dei
salotti)e citazioni di opere che preparano o testimoniano i cambiamenti che la
rivoluzione di fine secolo renderà evidenti,destinati a scorrere sulla colonna
di destra. Con l’anno nuovo mi metto l lavoro,ma per la colonna di sinistra mi
aspetto la tua collaborazione,come per i tagli degli stralci delle opere per la
colonna di destra.
Perché nel manifesto ti sei sottratta alla paternità del
lavoro sui testi?
Ti auguro un ottimo week end
Un abbraccio ,
Mariel
PS. Appena hai un briciolo di tempo ricordati che io aspetto
sempre la tua conclusione che mi hai promesso,del mio racconto "Le due
finestre". Mi ricordo che l’anno scorso l' avevi già chiara in testa.
Ma non ricordo come. Ci tengo molto,perché al momento mi era
piaciuta molto. Ed era un punto di vista al quale non avevo proprio
pensato!
Salon de Anne Marie Doublet
Louis Petit de Bachaumont
Mémoires secrets
Popular passages
Page 162 - à vous creuser l'esprit
pour trouver de nouveaux malheurs, choisissez-les tels que vous voudrez. Je
suis roi, je puis vous en procurer au gré de vos souhaits ; et, ce qui sûrement
ne vous arrivera pas vis-à-vis de vos ennemis, je cesserai de vous persécuter,
quand vous cesserez de mettre votre gloire à l'être.
Page 189 - Modeste en ma
couleur, modeste en mon séjour, Franche d'ambition, je me cache sous l'herbe ;
Mais, si sur votre front je puis me voir un jour, La plus humble des fleurs
sera la plus superbe
Page 123 - folies et les
méchancetés des hommes; je les ai haïs et détestés; je n'ai osé le dire pendant
ma vie; je le dirai au moins en mourant et après ma mort. C'est afin qu'on le
sache, que j'ai écrit le présent Mémoire, afin qu'il puisse servir de
témoignage à la vérité à tous ceux qui le liront.
Page 164 - a parlé d'un drame,
intitulé : La Partie de chasse de Henri IV, comédie en trois actes et en prose,
de M. Collé, lecteur de Son Altesse Sérénissime Monseigneur le duc d'Orléans.
Il se répand aujourd'hui imprimé (3). Ce prince paraît ici, en quelque sorte,
en déshabillé. On y peint quelques
Page 195 - Faites pour charmer
tous les yeux Et damner tous les hommes. Amis ! en voyant tant d'appas, Quels
plaisirs sont les nôtres ! Sans le péché d'Adam, hélas ! Nous en verrions bien
d'autres. Il n'eut qu'une femme avec lui ; Encor c'était la sienne : Ici je
vois celles d'autrui. Et ne vois pas la mienne
Page 112 - suivante remplit
l'un et l'autre objet. On la suppose écrite au bas de son buste; à côté sont
l'Hymen et l'Amour en larmes, avec leurs flambeaux renversés. Ci-gît Poisson de
Pompadour, Qui charmait la ville et la cour: Femme infidèle, et maîtresse
accomplie. L'Hymen et l'Amour n'ont pas tort, Le premier de pleurer sa vie, Le
second de pleurer sa mort
Page 162 - attribuée au
Salomon du Nord : « Vous avez renoncé à Genève, votre patrie; vous vous êtes
fait chasser de la Suisse, pays tant vanté dans vos écrits; la Franco vous a
décrété : venez donc chez moi. j'admire vos
Page 237 - Bon Dieu! qu'il est
pesant dans sa légèreté! Que ses petits écrits ont de longues préfaces! Ses
fleurs sont des pavots, ses ris sont des grimaces : Que l'encens qu'il prodigue
est plat et sans odeur ! C'est, si je veux l'en croire, un heureux
Page 448 - suivante : Pour
avoir dit que tes vers sans génie M'assoupissaient par leur monotonie, Froid Saint-Lambert,
je me vois séquestré ; Si tu voulais me punir à ton gré. Point ne fallait me
laisser ton poëme. Lui seul me rend mes chagrins moins amers : Car de nos maux
le remède suprême C'est le sommeil Je le dois à tes vers.
Page 200 - par les couplets
suivants : Quel est ce gentil animal, Qui dans ces. jours de carnaval Tourne à
Paris toutes les têtes, Et pour qui l'on donne des fêtes ? Ce ne peut être que
Molet (2), Ou le singe de Nicolet (3). Vous eûtes, éternels badauds, Vos
pantins et vos Ramponeaux
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